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La sensibilité et la sincérité d’Aurèle Marthan – Concertonet
« Des interprétations sensibles et presque sans faiblesse. Jeux d’eau imprègne modérément la mémoire et lui échappe encore un peu, la mélodie de Pavane pour une infante défunte ne se déploie pas si souplement que cela mais la Sonatine, parfois précipitée, surtout au début, lui tombe naturellement sous les doigts. Les Miroirs sont dans l’ensemble plutôt réussis: «Noctuelles» volubiles, «Oiseaux tristes» raffinés, «Une barque sur l’océan» prudemment chaloupée, «Alborada del gracioso» gravé à la pointe sèche, «Vallée des cloches» émouvante. De bon augure pour la suite » – Lire plus

Une belle interprétation d’Aurèle Marthan qui parvient à rendre, pour l’essentiel, ce climat ravélien caractéristique délicat et précieux, tout en retenue. L’éducation Musicale – Lire plus

Aurèle Marthan appartient à la nouvelle génération d’interprètes qui possèdent un jeu à la fois virtuose et simple, sans faire l’étalage de la dextérité démonstrative …»  – Victoria Okada à propos du disque Ravel, enregistré au Fazioli Concert Hall à Sacile, sous le label Polymnie.

« Un disque du jeune pianiste Aurèle Marthan comme un voyage à travers des œuvres de jeunesse de Maurice Ravel(1875-1937)… Une belle interprétation d’Aurèle Marthan qui parvient à rendre, pour l’essentiel, ce climat ravélien caractéristique délicat et précieux, tout en retenue. Beau récital. A suivre… »
Patrice Imbaud – L’Éducation Musicale

« Aurèle Marthan va à l’essentiel, avec émotion mais retenue, donnant beaucoup de noblesse à l’ensemble de son récital Ravel. C’est admirablement pensé, subtil et élégant, sans mièvrerie aucune … » Clément Mao-Takacs, conductor.

« Une barque sur l’océan est interprétée dans la bonne tradition du piano de Jacques Février … Les Jeux d’Eau et Noctuelles sont idéaux. » Denis Pascal, pianist.

« Un premier disque Ravel bien « viril », non maniéré, mais attentif au mécanisme artificiel du jeu qui était tellement cher à Ravel, une énigme que peu de pianistes savent résoudre et dont Aurèle Marthan est protagoniste dans ce grand début discographique. » Maurizio Baglini, pianist.

« C’est une merveille de sensibilité, de couleurs et de virtuosité. J’étais au tout début un peu dérouté par le son du Fazioli, mais très vite suis rentré dans cet univers sonore assez éloigné du standard Steinway car [Aurèle Marthan] donne vie à ce son en le rendant à la fois consistant et rond. »  Philippe Bernold, flutist.